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Membre intronisé

Membre du Panthéon

DOUG FLUTIE

Intronisé en 2007

Détails membres

Date de naissance: Le 23 octobre, 1962
Lieu d'origine: Manchester, Maryland
Sport: Football americain
Catégorie: Athlète

Faits saillants

1984

 Le trophée Heisman décerné au meilleur joueur de la NCAA

1991

Avait réussi 466 passes totalisant 6 619 verges, un record avec like lions de Colombie-Britannique

1991-1994, 1996, 1997

Est choisi un nombre record de six fois en tant que joueur par excellence de la Ligue

1992, 1996, 1997

Le coupe grey (Stampeders de Calgary, Argos de Toronto, Argos de Toronto) Joueur le plus précieux dans les trois victoires

2006

Classé n ° 1 sur la liste des 50 meilleurs joueurs dans la LCF

 

Hall of Famer DOUG FLUTIE
Sport

Biographie

Doug Flutie est un magicien sur un terrain de football. Sa magie s'est d'abord manifestée lorsqu'il était encore jeune enfant : il pouvait calculer le prix du panier d'épicerie de sa mère avant d'arriver à la caisse, avec une marge de 5 cents. Sa capacité à calculer était tout à fait à propos pour un homme qui allait amasser 10 579 verges de passes au collège, puis 58 464 autres dans les rangs professionnels. C'est en 1981, au Boston College, que la magie de Doug Flutie prit son envol. Il a accumulé plus de verges de passes que quiconque dans l'histoire de la NCAA; en fait, il n'y a pas de passe plus célèbre dans les rangs collégiaux que sa toute dernière, qui laissa sa marque dans l'histoire de l'Orange Bowl, en 1984. C'est sa fameuse passe «à la grâce de Dieu» de 48 verges, alors que le temps était écoulé, qui permit à Boston de remporter le match 47 à 45 aux dépens de Miami. Cette année-là, il remporta le trophée Heisman décerné au meilleur joueur de la NCAA. En 1991, après seulement deux années dans la LCF, il avait réussi 466 passes totalisant 6 619 verges. Ces deux records tiennent toujours. Dans les sept années qui suivirent, il fut choisi un nombre record de six fois en tant que joueur par excellence de la Ligue. Mon souvenir le plus vif de Doug Flutie vient de 1997, alors que nous étions coéquipiers chez les Argonauts. Le pointage était égal, tard dans le quatrième quart de la finale de l'Est contre Montréal. Il est venu à moi et m'a dit : «Pinner, quand nous reprendrons possession du ballon, toi et moi, on se rendra jusqu'au bout du terrain.» La confiance extrême avec laquelle il m'avait parlé me captivait, me fascinait… c'était magique. Nous avons récupéré le ballon à notre ligne de 23 verges, puis nous nous sommes rendus à l'autre bout en comptant le touché qui allait faire de nous des champions pour une deuxième fois d'affilée. De toutes les choses qui caractérisent la magie de Doug, la plus grande est celle de son amour pour la famille. Sa fierté envers Laurie, son épouse de toujours; la passion qui l'anime lorsqu'il raconte les parties de soccer de sa fille Lexi; et l'amour véritable qu'il voue à son petit Dougie dans son combat contre l'autisme, tout cela fait partie de sa grandeur. Si les É.-U. sont sa demeure, le Canada est son terrain de jeu. Boston est sa ville, mais son thé préféré est le Earl Grey. Son talent était son passeport, et le Panthéon des sports canadiens sa destination. En ce qui me concerne, il est une de ces rares personnes pour qui le terme est bien faible quand on dit de lui qu'il est un héros.